Vacances ciné
Etant allée au ciné 4 fois pendant ces dernières vacances, et y allant relativement souvent le reste du temps, j'ai décidé d'ouvrir une rubrique ciné sur 8-sous. Outre Freaky Friday, dont la critique se trouve ici, je suis allée voir Après vous, Love Actually et Le retour du roi (pour la 2e fois, et ce ne sera pas la dernière puisque je ne l'ai pas encore vu en VO, grrrrrr à cause de mes petits cousins).
En ce qui concerne Après vous, je m'en serai bien passé. Je m'attendais à une petite comédie romantique française pleine de finesse, eh bien... beeeeeerk. L'histoire en deux phrases : Antoine (j'avais oublié le prénom, j'ai dû chercher sur le net pour le retrouver...) sauve Louis du suicide et l'accueille chez lui. Il se met à vouloir régler ses problèmes, et notamment à rechercher son ex. Bien entendu, il tombe amoureux d'elle, mais il veut quand même aider Louis, bref un beau noeud de sentiments. Le scénario est bancal, ça tourne en rond, ça se marche sur les pieds... Et on s'ennuie. Le film avait peut-être des prétentions philosophiques profondes (télérama a débattu dessus dans sa critique) que je n'ai pas saisies (ni moi ni ceux qui m'accompagnaient d'ailleurs). On ajoute à ça une BO amusante au début puis qui énerve franchement, et on obtient un ensemble médiocre. Comme quoi, de bons acteurs (José Garcia et Daniel Auteuil) ne suffisent pas à faire un bon film...
A l'inverse, Love Actually était génial. Aaaaaaah... ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une aussi bonne comédie romantique (la dernière, c'était Mariage à la grecque). Le thème est simple : pendant le mois de décembre, on assiste aux histoires d'amours d'une dizaine de personnages (on s'y perd un peu au début), tous liés par un petit quelque chose (collègues de travail, frère et soeur, meilleurs potes...). On voit des débuts, des milieux, des fins d'histoires, des ratés, des réussites, des jeunes (de 11 ans...), des moins jeunes (à 70 ans !), et surtout, surtout, des sentiments amoureux en toute simplicité. Le réalisateur a su saisir ces petits moments où l'on tombe amoureux, où on désire l'autre, où on l'aime, ces regards, ces gestes, ces expressions universelles. Bref un film très très sympa et pas cucul du tout, on rit beaucoup, on est ému parce qu'on se retrouve un peu... Une vraie bouffée d'air pur et d'optimisme, on en ressort le sourire aux lèvres et de l'amour plein les yeux. Finalement, j'ai envie de retomber amoureuse cette année... LOVE ACTUALLY IS ALL AROUND.
En ce qui concerne Après vous, je m'en serai bien passé. Je m'attendais à une petite comédie romantique française pleine de finesse, eh bien... beeeeeerk. L'histoire en deux phrases : Antoine (j'avais oublié le prénom, j'ai dû chercher sur le net pour le retrouver...) sauve Louis du suicide et l'accueille chez lui. Il se met à vouloir régler ses problèmes, et notamment à rechercher son ex. Bien entendu, il tombe amoureux d'elle, mais il veut quand même aider Louis, bref un beau noeud de sentiments. Le scénario est bancal, ça tourne en rond, ça se marche sur les pieds... Et on s'ennuie. Le film avait peut-être des prétentions philosophiques profondes (télérama a débattu dessus dans sa critique) que je n'ai pas saisies (ni moi ni ceux qui m'accompagnaient d'ailleurs). On ajoute à ça une BO amusante au début puis qui énerve franchement, et on obtient un ensemble médiocre. Comme quoi, de bons acteurs (José Garcia et Daniel Auteuil) ne suffisent pas à faire un bon film...
A l'inverse, Love Actually était génial. Aaaaaaah... ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une aussi bonne comédie romantique (la dernière, c'était Mariage à la grecque). Le thème est simple : pendant le mois de décembre, on assiste aux histoires d'amours d'une dizaine de personnages (on s'y perd un peu au début), tous liés par un petit quelque chose (collègues de travail, frère et soeur, meilleurs potes...). On voit des débuts, des milieux, des fins d'histoires, des ratés, des réussites, des jeunes (de 11 ans...), des moins jeunes (à 70 ans !), et surtout, surtout, des sentiments amoureux en toute simplicité. Le réalisateur a su saisir ces petits moments où l'on tombe amoureux, où on désire l'autre, où on l'aime, ces regards, ces gestes, ces expressions universelles. Bref un film très très sympa et pas cucul du tout, on rit beaucoup, on est ému parce qu'on se retrouve un peu... Une vraie bouffée d'air pur et d'optimisme, on en ressort le sourire aux lèvres et de l'amour plein les yeux. Finalement, j'ai envie de retomber amoureuse cette année... LOVE ACTUALLY IS ALL AROUND.
Encore un délire de 8-sous, le Vendredi 2 Janvier 2004, 15:22 à ranger dans Un peu plus loin que le bout de mon nez.
Ajouts injustifés :
Love actually, je ne suis pas allée le voir, et je pense que je m'en passerai, parce que les comédies sentimentales, très peu pour moi. D'ailleurs, si j'avais su que Après vous en était une, j'y serai pas allée. Malheureusement, je me suis laissée entraînée, et comme je m'attendais pas à un tel film, j'ai passé la soirée pliée en 2. Le problème, c'est que quand c'était censé être drôle, ça me faisait pas rire, et là où c'était pas censé être drôle, j'étais pétée de rire. Comme quoi ... Sinon, la BO, c'était génial, y'avais que 2 chansons pour tout le film (au moins on se perdait pas), et je l'ai gardée dans la tête pendant 3 jours. Insupportable !
Re:
Je t'assure que Love Actually vaut le déplacement... Dans ce film, pas de "baiser parfait" au clair de la lune, ni de scènes de passions exacerbées... Il y a des scènes vraiment marrantes, et puis, c'est anti-américain (c'est un film anglais), et rien que pour ça, certains passages valent le coup d'oeil.
Re: Re:
ok, je prends note alors, ma chère 8-sous. Dès que j'aurais le temps ! Mais bon, continue tes critiques ciné, elles sont super intéressantes !
Re: Re:
ma chère je suis entièrement d'accord avec toi, j'ai adoré love actually...il avait une super ambiance (ma voisine, une charmante vieille dame, s'est endormie au milieu du film... et m'a engueulée parce que je dansais sur mon siège), mais j'ai bien ri.
Re: Re:
Un film anglais ??!!! Non, mais alors là, c'est sûr que la rareté du fait mérite un déplacement ! Par contre, je me demande combien de temps ça va encore rester à l'affiche...On aura peut-être la chance de l'avoir au lido après sa disparition des salles hors de prix...
Sarkollack
C'est un affront de ne pas etre considéré comme digne d'être aimé, un malheur de ne l'être plus