Je vois brûler mon univers
Et ce monde tomber en cendres
Me suis-je fondue en poussière
Pour pleurer de larmes tendres
Des anges déjà déchus
Qui doucement se consument ?
Sous mes yeux tant de perdus,
Dévorés par l'amertume
Et les flammes noires
D'un bûcher d'illusions,
S'égarent dans un faux espoir...
Il creuse ses sillons
Dans leurs veines épuisées,
Et leur sang lentement découle
De leurs auréoles dégradées...
J'oublie et je m'écroule...
Adieu.
Ajouts injustifés :
Et comme on dit dans la cantatrice chauve :
les polycandres brillaient dans les bois
Une pierre prit feu
Le chateau prit feu
La forêt prit feu
Les hommes prirent feu
Les femmes prirent feu
Les oiseaux prirent feu
L'eau prit feu
Le ciel prit feu
la cendre prit feu
La fumée prit feu
le feu prit feu
Tout prit feu
Prit feu, prit feu
Sarkollack
bref
encore un tres beau poeme vive cyssou!!!!!!!!!