File (l') eau, Sophie
Ché pas ce que j'ai en ce moment, j'ai envie d'écrire. De lire, aussi. Pas forcément de la grande littérature, juste lire pour le plaisir de l'acte... Et puis, on est pas obligé de lire Dostoïevski pour dire qu'on lit, après tout. Surtout que maintenant qu'on a plus le fardeau du bac français, les classiques ne sont pas recommandés urgemment (mais attention, ce n'est pas du tout que je n'aime pas les classiques... simplement, lire un peu de fantastique, d'histoires de trolls et d'elfes de temps en temps, ça fait du bien...). Comme le dit notre nouvelle et charmante prof de philo, on ne peut pas tout connaître, et si j'ai envie de lire des bouquins contemporains, je lis des bouquins contemporains, na. D'abord.
Parlons en, de la prof de philo, tiens. Attendez un cours avec impatience. Montez vous la tête en imaginant des débats passionnants sur la vérité et la liberté. Rêvez à des questions existentielles enfin mises à jour, des points de vue nouveaux. Freinez votre impatience à découvrir cette nouvelle matière pleine de promesses.
Et blam, recevez deux heures à écouter une madame qui ne finit jamais ses phrases mais les commence toujours, qui vous assomme par un discours (que vous commencez à écouter, mais dans lequel vous vous noyez très vite vu le nombre de subordonnées) de deux heures sans aucune interruption (pas même un verre d'eau). Grosse déception. Bouh.
Et en plus, elle m'a mise en retard pour mon cours d'espagnol avec mon nouveau prof jeune et dynamique. Un peu trop, d'ailleurs. Trois pages de verbes irréguliers pour la semaine prochaine, première interro.
Voili voilà. Aïe.
Parlons en, de la prof de philo, tiens. Attendez un cours avec impatience. Montez vous la tête en imaginant des débats passionnants sur la vérité et la liberté. Rêvez à des questions existentielles enfin mises à jour, des points de vue nouveaux. Freinez votre impatience à découvrir cette nouvelle matière pleine de promesses.
Et blam, recevez deux heures à écouter une madame qui ne finit jamais ses phrases mais les commence toujours, qui vous assomme par un discours (que vous commencez à écouter, mais dans lequel vous vous noyez très vite vu le nombre de subordonnées) de deux heures sans aucune interruption (pas même un verre d'eau). Grosse déception. Bouh.
Et en plus, elle m'a mise en retard pour mon cours d'espagnol avec mon nouveau prof jeune et dynamique. Un peu trop, d'ailleurs. Trois pages de verbes irréguliers pour la semaine prochaine, première interro.
Voili voilà. Aïe.
Encore un délire de 8-sous, le Jeudi 2 Septembre 2004, 21:05 à ranger dans Un peu plus loin que le bout de mon nez.